Lors de son entretien avec la presse nationale hier, le chef de l’État a discuté de la possibilité d’accorder une liberté provisoire à عثمان سونكو et à son candidat باسيرو ديوماي فايي, renvoyant la responsabilité aux avocats pour déposer une demande auprès du parquet.
Divergence d’opinions sur les stratégies légales
Le coordonnateur du pôle des avocats de Bassirou Diomaye Faye, sur RFM, s’est exprimé positivement sur cette possibilité, soulignant que si le pouvoir donne des instructions au parquet pour libérer tous les détenus politiques, y compris son client, cela contribuerait à l’apaisement. En revanche, Me Moussa Sarr est d’avis qu’une telle demande n’est pas nécessaire, arguant que c’est à l’État de prendre les mesures pour libérer les détenus politiques, étant donné que leur arrestation relève de considérations politiques.