Le ministère de l’Urbanisme et des Collectivités territoriales a réfuté les récentes critiques de Tahirou Sarr sur le système d’état civil sénégalais. Le ministère a rappelé que l’enregistrement des naissances et décès est obligatoire pour tous, indépendamment de la nationalité.
Les accusations de vente d’actes ont été rejetées, le ministère soulignant que les registres d’état civil sont sous contrôle judiciaire et régulièrement vérifiés. Des efforts sont également en cours pour moderniser et sécuriser le système, avec la numérisation de plus de 20 millions d’actes.
Le ministère a appelé à la responsabilité dans les propos publics, expliquant que la diffusion d’informations erronées nuit à la cohésion sociale et va à l’encontre des valeurs du Senegal.
Le ministère a réaffirmé son engagement à assurer la fiabilité et la transparence du système d’état civil, tout en travaillant à son amélioration continue.