Dans cette phrase, Djibril Ndiogou Mbaye critique l’attitude de Yoro Dia envers l’interview du président Diomaye. Mbaye utilise cette métaphore pour illustrer comment Dia, au lieu de se concentrer sur les points essentiels et les propositions importantes faites par le président (la lune), choisit de se focaliser sur des détails insignifiants et secondaires (le petit doigt). Selon Mbaye, Dia passe à côté des véritables enjeux en s’attardant sur des aspects moins pertinents et en se lançant dans des critiques non constructives.
Dans sa réponse, Djibril Ndiogou Mbaye critique Yoro Dia pour sa réaction à l’interview du président Diomaye. Mbaye reproche à Dia de s’attarder sur des références historiques obsolètes et inadaptées aux réalités actuelles du Sénégal. Il souligne que Dia utilise des comparaisons inappropriées avec des événements et des théories d’autres époques et cultures, sans pertinence pour la situation contemporaine sénégalaise.
Mbaye ironise sur l’idée que les révolutions française et américaine aient été motivées uniquement par des raisons fiscales, qualifiant cette vision de simpliste et incorrecte. Il propose d’inscrire dans chaque école la phrase « Payer son impôt est un devoir civique » pour sensibiliser les Sénégalais à l’importance de la fiscalité.
Il invite Dia à se concentrer sur des références africaines et des intellectuels locaux, tels que Cheikh Anta Diop, pour mieux comprendre et adresser les enjeux actuels du Sénégal. Mbaye critique également l’approche condescendante et désuète de Dia, l’accusant de masquer un complexe d’infériorité et de rester figé dans le passé.
En conclusion, Mbaye conseille à Dia de faire preuve de plus de retenue et de laisser les véritables travailleurs se concentrer sur des solutions innovantes pour le développement du Sénégal.
